Macario VITALIS et son modèle dans son atelier chez Camille RENAULT – Autorisation de M. E. Ledoigt
Après deux années d’enfermement au camp allemand à Compiègne, VITALIS retrouve en 1944 Puteaux et le groupe de la « Section d’Or ». Il vit dorénavant sous le toit du restaurateur-mécène Camille RENAULT, lieu où le tout Paris culturel avait ses habitudes (voir partie dédiée « VITALIS et Camille RENAULT »).
Ses premières peintures montrent une joie de la liberté recouvrée. Puis VITALIS prend le virage du non-figuratif, à l’esthétisme impressionniste.
1946
1947
1948
1950
Le bal – hst – 1950
Dancing women – hst – 1950
Village scene – hsp – 1950
La chapelle Sainte-Barbe (Plestin-les-Grèves) – hst – vers 1950
(source : les amis de VITALIS)
Paris – Place Clichy – crayon noir – 1950
1951
1952
Portrait de femme assise – hst – 1952
Pointe de l’Armorique – hst – 1952
(source : les amis de VITALIS)
Portrait de poissonnière derrière son étal – hst – vers 1952
(source : les amis de VITALIS)
Locquirec depuis la pointe de l’Armorique – hst – vers 1952
La marchande de tIssus – hst – 1952
(source : les amis de VITALIS)
Maternité – hst – 1952
1954
1956