

Macario VITALIS
À partir de 1957, VITALIS s’installe définitivement dans le Trégor breton, à Plestin-les-Grèves. Son style va évoluer, passant du cubisme à une alliance cubiste-impressionniste. Il continue cependant à regagner régulièrement Paris pour proposer des toiles à Camille Renault qui les expose dans ses restaurants « Big Boy » et au « Bateau de pierre » (
voir article consacré à Camille Renault et Vitalis). En 1962, il assiste à plusieurs représentations de la troupe folklorique philippine, les « Bayanihan », au Théatre de Paris. Séduit, mais aussi nostalgique, VITALIS suit la troupe lorsqu’elle repart aux Philippines : en décembre 1962, VITALIS retrouve son pays natal 44 ans après l’avoir quitté.
1958
1959
1960
Amazones 2 – hst – 1960
Vue de village – hst – 1960
Crucifixion – hst – 1960
Chasse à courre – hst – 1960
L’orchestre – hst – 1960
Sur la plage – hst – 1960
La nativité – hst – 1960
1961
Chapelle de Saint-Efflam – hst – 1961
Lavandières- hst – 1961
La baie des Curés – hst – 1961
Village fortifié – hst – 1961
Paysage – hst – 1961
Village en Bretagne – hst – 1961
Sans titre (Tour d’Argent) – hst – 1961
Au port – hst – 1961
Village breton – hst – 1961
Les trois femmes- hsp – 1961
Crucifixion – hst – 1961
1962